Jean-Guy Henckel

« Je refuse de donner un travail de merde à des gens qui sont dans la merde »

Tout commence au milieu des usines Peugeot, au début des années cinquante. Né en Franche-Comté, petit-fils de patron de bistrot, fils d'employé dans l'automobile, Jean-Guy Henckel n'était pas programmé pour consacrer son existence aux plus démunis, aux accidentés de la vie. Mais le hasard des rencontres en décide autrement. Alors qu'il est éducateur au sein d'un centre d'hébergement à Besançon, il fonde le premier Jardin de Cocagne.


L'idée est simple : donner du travail à des personnes en difficulté, en développant une agriculture de proximité et en distribuant des légumes bio à des adhérents consommateurs. Le premier jardin fait des petits et en 1999 naît officiellement le Réseau Cocagne.

Livre

  • Comment près de 100 Jardins de Cocagne et leur fondateur permettent la réinsertion de 3 000 personnes par an en distribuant des paniers de légumes biologiques à 15 000 familles adhérentes.