Un essai passionnant et plein de mordant
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Pourquoi un ingénieur gagne-t-il plus qu’une aide-soignante ? Comment se fait-il que l’ancienneté profite d’abord aux hommes ? Les femmes seraient-elles incapables de négocier des augmentations salariales ? Et le télétravail est-il vraiment une bonne affaire pour les femmes ? Peut-on sérieusement dire que l’égalité professionnelle progresse alors que, selon l’Insee, le revenu salarial moyen des femmes est encore inférieur de 23,5 % à celui des hommes dans le secteur privé ?
Dans ce court essai, Marie Donzel déconstruit les origines et mécanismes des inégalités salariales : où elles se fabriquent, comment elles se perpétuent, quels sont les principaux arguments pour les justifier. Car ce sont les biais inconscients et les mentalités collectives – alimentés par les stéréotypes de genre et un certain sexisme – qui entretiennent ces inégalités.
La clé pour atteindre une réelle égalité est claire : il faut changer les règles du jeu dans le monde du travail, jusque-là conçues par et pour les hommes.
Un essai passionnant et plein de mordant
Alors maintenant que l’on sait qu’il est inexplicable et injustifiable que les femmes soient moins payées que les hommes, sommes-nous prêt·es enfin à appliquer le principe “à travail de valeur égale salaire égal” ? Pour cela, il nous faut regarder en face cette notion de valeur du travail. Et voir si après cela, l’on osera dire encore, toute honte bue, qu’on “s’explique” parfaitement que les femmes ne gagnent pas autant que les hommes parce que leur travail aurait moins de valeur et créerait moins de valeur
Les inégalités de salaires entre les femmes et les hommes se croisent avec la valeur des métiers qui est complètement incohérente. Ce n’est même plus une question genrée qui se pose mais une question du bon sens et de ce qu’on veut : ça veut dire quoi le travail ? À quoi on le dépense ? Dans quoi on investit collectivement ?
Les femmes sont moins payées que les hommes et, dans les ménages, l’arbitrage va plutôt se faire sur le plus petit des deux salaires s’il faut réduire le temps de travail
Le style est vif, clair, les arguments s’énoncent et dénoncent d’une manière incisive
L’argument selon lequel les femmes négocient moins bien tombe si elles ont enfin accès aux informations salariales
Dans ce petit ouvrage au titre plein d’ironie, Marie Donzel revient sur le point de départ des inégalités de salaires entre les hommes et les femmes. Elle s’interroge par ailleurs sur valeur la donnée au travail en fonction de certaines professions et donc les rémunérations qui en découlent
On adore l’idée de l’entrepreneur qui saute dans le vie et construit le parachute avant la descente. Sur les inégalités salariales, il faut cette ambition-là : changer de mindset, faire de la conduite du changement, négocier avec les financeurs pour avoir de la marge pour les investissements. Il faut sortir de l’idée qu’on n’y est pour rien et qu’on n’y peut rien
Quand une femme négocie, elle a 25 % de chance en moins qu’un homme d’obtenir gain de cause
Un essai assez décapant
L’ouvrage s’attache ainsi à démontrer que les justifications des écarts de salaires ne sont pas recevables et que seule une évolution des règles du jeu dans le monde du travail – aujourd’hui intrinsèquement favorables aux hommes – permettra d’atteindre l’égalité salariale
Au fil des pages, Marie Donzel pointe du doigt les préjugés qui entretiennent ces inégalités et propose des solutions pour permettre à l’égalité salariale réelle d’advenir
On a besoin de poser la question de comment nos sociétés sont organisées
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