Souvent drôle, ce petit livre montre de façon convaincante que ce que met en place le développement personnel constitue un dispositif néolibéral de domestication de la personne
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« Nous attendons avec impatience que l’on veuille bien nous apprendre à déféquer en pleine conscience. »
La mode du « développement personnel » ne se dément pas. Sans cesse, nous subissons une injonction à nous libérer de nos croyances limitantes et à acquérir un « surplus d’être » pour devenir un meilleur individu. Bien sûr, on pourrait penser qu’il n’y a là que de bonnes intentions : qui refuserait une version améliorée de soi-même ? Mais derrière les discours sucrés et inoffensifs, c’est à la montée d’une idéologie politique que l’on assiste. Car la forme de bien-être promise par le développement personnel constitue trop souvent une exploitation de soi par soi… Dans ce monde merveilleux, tout tourne autour de cet axiome : quand on veut, on peut. Et si on ne peut pas, c’est qu’on ne veut pas assez. Le collectif disparaît de l’écran pour ne laisser que des individus responsables de tout à 100 % : de leur destin, de leur emploi, et même de leur santé ! C’est à cette vaste supercherie que s’en prend ici Thierry Jobard, preuves à l’appui…
Souvent drôle, ce petit livre montre de façon convaincante que ce que met en place le développement personnel constitue un dispositif néolibéral de domestication de la personne
Après le retentissant Contre le développement personnel, Thierry Jobard dénonce les tenants et faux-semblants de l’ésotérisme.
Face à la polarisation du débat public et aux crises multiples, Éloi Laurent défend une autre voie : la coopération.
« Pourquoi les femmes perçoivent en moyenne des salaires moindres, et surtout comment faire pour que ce ne soit plus le cas ? »
« Et si l’utopie féministe visait autant à émanciper les femmes qu’à déviriliser la société tout entière ? Baisser le niveau de violence dans la société en combattant l’idéologie viriliste du monde, tel pourrait être le nouveau paradigme. » Céline Piques
Un ouvrage accessible et pédagogique sur le sujet de l'incarcération, qui reprend et déconstruit les lieux communs sur la prison.
L’appel à mobilisation du chercheur Aurélien Boutaud face à l’urgence climatique.
« Et si, pour une fois, au lieu de détourner le regard, on prenait la mesure de cet enjeu de société et de ce qu'il dit de notre façon de vivre ensemble ? »
La vision radicale de Jean-Marc Gancille pour une écologie sans concession.
Un point de vue inédit sur le sujet de l’énergie qui bat en brèche l’idée qu’une transition énergétique serait possible.
S’il ne s’agit jamais de dire toute la vérité, a-t-on pour autant le droit de mentir ?
« Tu perds ton temps ! »Qu’est-ce qui se cache derrière ce reproche ? Et que dissimulent nos rêveries, nos oublis, nos paresses ?
En explorant les notions de désir, de possession, d’estime de soi, en s’interrogeant sur ce qui se cache derrière la jalousie, ce livre propose une forme d’initiation à la psychanalyse.
Suffit-il d’être raisonnable pour ne plus avoir peur ? N’a-t-on pas toujours, sinon raison, du moins une bonne raison d’avoir peur ?
Dans cet essai édifiant, David Blough démythifie le sport pour qu’il prenne la mesure de son potentiel social.
Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Et après ?
« Et si, pour une fois, au lieu de détourner le regard, on prenait la mesure de cet enjeu de société et de ce qu'il dit de notre façon de vivre ensemble ? »
L'histoire émouvante d'un enfant confronté à la maladie de sa mère.
« Ni nonne, ni bonne, ni pigeonne. »
La chronique autobiographique d'une relation mère-fille transformée par le combat contre le cancer : comment dire merci et adieu à un proche ?
Comment l'association Parrains par' mille et sa fondatrice permettent à des milliers d'enfants en situation d'isolement familial ou d'exclusion de nouer des liens affectifs avec un parrain ou une marraine bénévole.
Lester Brown dresse un tableau sans concession de la situation environnementale mondiale et liste les mesures qui s’imposent.
Un livre coup de poing, qui met en pièces l'imagerie entretenue de longue date par le Canada et ses représentants officiels - à savoir un pays où la nature est reine - en dévoilant comment le pays est devenu un havre réglementaire et judiciaire pour une industrie fort controversée.
Depuis 2008, une véritable ruée sur les terres arables se déroule dans les pays du Sud et se pratique le plus souvent aux dépens des ressources et des populations locales. Stefano Liberti est parvenu à retracer les causes et à détailler les conséquences sociales et environnementales de cette politique de la terre bradée.
« Même si Total est une société privée, c'est la plus grande entreprise française et elle représente d'une certaine manière le pays lui-même. » Patrick POUYANNÉ, PDG du groupe
Un essai philosophique percutant qui interroge le pouvoir des multinationales et le concept de légalité.
Une enquête fouillée sur l’univers de la mode.
L’enquête choc sur la multinationale Heineken.